Jun T. ; done

♣ Tôgashi Jun Feat. Su Kyung ; Tisvin Model.

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«This is a same as a game, not having an end.» Pseudonyme/Surnom→ Baby Doll Âge→ 23 ans Nationalité→ Japonaise Travail→ Barmaid dans une boîte branchée Orientation sexuel→ Rukisexuelle Hétérosexuelle Patient à la DSC→ Non JA-MAIS! Possesseur du don→ Oui Groupe→ Rêveurs Flamboyante. Oui, ce serait bien le premier qualificatif qui viendrait à l'esprit de quiconque rencontrerait Jun. Et je ne parle pas là que de sa couleur de cheveux. Il en est de même de son caractère, mais croyez-moi, cela fera l'objet d'une autre rubrique, et pour ne pas vous perdre, cela vaut mieux pour tout le monde. Mais nous sommes ici pour la décrire physiquement, puisqu'il faut croire que les images ne puissent parler d'elles-même. Je ne saurais être plus exacte qu'en vous fournissant ses mensurations : taille ; 168cm ; poids ; 48kg ; tour de poitrine (si, si, c'est important) 75B. Je pourrais également vous fournir sa taille de pantalon, celle de ses tee-shirts ou encore sa pointure, mais là, je pense que cela ne vous avancera guère. Mais n'hésitez pas à lui demander, ce n'est pas le genre de chose sur laquelle elle se formalise. Ainsi, elle a su jouer de sa taille mannequin, grande, mince et rousse, elle n'a jamais été le genre de fille à passer inaperçu et s'est bien vite habituée à voir les hommes se retourner sur son passage. Chose dont elle joue de plus en plus. Ça gonfle son ego, dirons les mauvaises langues. Et elles n'auraient pas tort. Mais sinon, à quoi bon posséder un physique pareil si ce n'est pour faire rêver les hommes et avoir, soir après soir, la crème de la crème dans son lit? Outre ses longues boucles rousses et ses grands yeux bruns, passant au gré de ses envies du bleu au pervenche, son look fait de fringues de grandes marques, françaises de préférence, côtoient des pièces de jeunes créateurs, le tout dans des tons généralement neutres : noir, blanc, gris mais parfois l'imprimé léopard fait sensation, tout comme ses jeans moulants, déchirés à l'envie ou ses boots cloutées ou ses shorts en cuir... Et puis comme si elle n'était pas assez grande, vous la verrez rarement autrement que juchée sur de très hauts escarpins, à talon aiguille et semelle rouge, de préférence. Et pour le travail, elle s'en trouve comblée, le short noir, le chemisier blanc et le gilet noir constituent son uniforme. Qu'elle agrémente les soirs de fête d'une paire d'oreilles de lapin et d'une queue en pompon. Alors messieurs, serez-vous à la hauteur?

Jun, c'est un caractère de merde. Pas la peine d'y aller par quatre chemins, vous vous en rendrez vous-même compte. Je ne saurais pas où commencer, alors tout vous sera décrit à tort et à travers, sans raisonnement aucun, juste une succession de faits avérés. Oui, parce que bordélique fait partie de ces choses que l'on remarque au premier coup d'œil chez elle. Et quand je dis chez elle, je ne parle pas que de son studio mais également de son sac à main, encombré de choses et d'autres, utiles ou non comme un téléphone portable dernier cri recouvert de strass et paillettes et où pendouille un adorable poussin jaune, un mp3 et son casque stéréo assorti, divers paquets de mouchoirs tous à moitié pleins -ou vides- mais aussi divers accessoires de maquillage, une brosse à cheveux ou encore une paire de lunettes de soleil, de ballerines -car les soirées peuvent être longues à plus de dix centimètres du sol- et parfois une console de jeux portable, une écharpe, des chewing-gums, sucettes, Pocky© et autres choses sucrées qui peuvent se dévorer d'un coup de dent. Et lorsque son portable se met à sonner, il n'est pas rare de la voir déballer ce joyeux bazar afin de retrouver l'objet bruyant qui aura eu l'idée de se nicher tout au fond. Fond de sac où elle découvre et redécouvre des merveilles -et autres choses bizarres- comme de l'argent, parce que son porte-monnaie Pokeball a la fâcheuse tendance de fuir, allez savoir comment, ou des bijoux et même des cailloux. Si, des cailloux. Non, pas une brique. Pas un gravillon non plus. Non, Un beau caillou. Oui, bon, elle non plus, elle ne sait plus trop comment il est arrivé là mais une chose est sûre, il y est toujours. Il change de sac selon les saisons et les tenues, comme une sorte d'amulette porte-bonheur. Parce que Jun est pleines de lubies. Vous découvrirez ainsi qu'énormément de choses -plus ou moins logiques- sont simplement des questions de principe. Plus ou moins fumeux. Et des tic aussi. Non, pas de TOC, n'aggravez pas son cas quand même. A moins que placer son verre au centre du carré de carton servant de sous-bock en soit un. Dans ce cas-là... Bavarde, volubile, excentrique et désinvolte, Jun passe rarement inaperçue. Et ce, parce qu'elle le veut bien. Extravertie au possible, le moindre homme intéressant aura affaire à ses yeux de biche et ses lèvres pulpeuses, soigneusement et discrètement additionnées de gloss. Car la séduction semble être une seconde nature chez elle. Célibataire, elle n'a jamais fait vœu d'abstinence et n'a jamais prêté serment de fidélité, aussi, il n'est pas rare de la retrouver au bras d'un homme différent chaque soir. Parce que la diversité, c'est bien. Et que l'herbe est toujours plus verte ailleurs. Mais s'il est une chose que vous verrez rarement chez elle, c'est bien la minauderie, sauf s'il semblerait que sa proie ne soit sensible qu'à ce genre de femme. Non, elle préfère la provocation, ne serait-ce que par ses tenues, ses cheveux mais aussi ses expressions et sa manière de répondre. Non, elle n'est en aucun cas irrespectueuse, seulement, elle a décidé, il y a bien longtemps de ne pas se laisser marcher sur les pieds. Et pour le métier qu'elle exerce actuellement, je peux vous assurer qu'il vaut mieux avoir du répondant et de la volonté. Mais rembarrer deux, trois ivrognes chaque soir suffit à son bonheur. Fashion victim, les après-midi shopping sont un de ses hobbies et son pêché mignon, ce sont ces magnifiques escarpins à la semelle rouge, oui, oui, les Louboutin. Mais elle doit bien avouer que son compte en banque ne suit malheureusement pas toutes ses envies. Et les coups de fil de son banquier ne sont pas rares... Allez savoir pourquoi elle oublie toujours leurs rendez-vous... Tout comme ceux chez le dentiste. Ou encore de payer sa facture d'électricité ou son mois de loyer. Car oui, Jun est comme ça, un panier percé avec une mémoire de poisson rouge. Oui, ou une mémoire sélective. C'est vous qui voyez hein. Avec ça, la seule chose dont elle est capable de s'occuper, c'est le chaton qu'elle a recueilli il y a peu même si parfois elle oublie quand même de remplir la gamelle ou de changer la litière... Mais cela ne fait que s'ajouter au bordel ambiant dans lequel elle vit... Car oui, son studio, c'est comme son sac à main, un foutoir sans nom. Dans la chambre, ce sont les fringues qui recouvrent le sol; sur le bureau, les factures et les dessins; dans le salon, les câbles de ses diverses consoles de jeux vidéos; dans la cuisine, des vestiges de vaisselle et de plats préparés. Oui, parce que Jun, c'est «catastrophe en cuisine» tous les soirs et ce, dès qu'elle y met un pied. Ainsi, vous serez d'accord avec ses parents n'est-ce pas? «Mais un jour, trouvera-t-elle un mari?» Alors sachez que pour le moment, elle se contente de ses aventures d'un soir. Car son objectif, c'est lui.

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Bon, toujours d'attaque pour l'histoire? Je vous préviens de suite, ce n'est pas du Spielberg ou du Lynch. Que tous les fans d'histoires sombres et tordues passent leur chemin. Jun n'a jamais connu tout ça. Allez savoir si c'est réellement mieux pour elle... Mais commençons, commençons. Notre rouquine est donc née il y a de ça 23 ans dans une petite ville proche de Tokyo. Une ville à à taille humaine comme le disait ses parents qui avaient volontairement déménagé de la capitale au tout début de la grossesse, pour offrir au bébé à venir, un cadre plus sain que cette ville qui ne dort jamais. Et pourtant, enfant mais surtout adolescente, Jun en a rêvé chaque nuit de ces quartiers, de ces rues où les enseignes des magasins ne s'éteignent ni le jour, ni la nuit.

Durant toute sa scolarité, elle n'aura jamais fait parler d'elle. Elle n'était ni trop intelligente, ni trop bête. Feignante, très certainement. Le « minimum syndical » était son leitmotiv. Elle ne s'est jamais endormie en cours, en revanche, sa motivation était aussi vaillante qu'un sucre dans l'eau et il n'était pas rare de la voir rêvasser le nez en l'air, le regard perdu dans un ciel sans nuage. Collégienne puis lycéenne, elle aura enchaîné les amies, les fans et les petits amis. Et avec cela la jalousie et une réputation sulfureuse. Mais n'en est-il pas ainsi dans toutes les petites villes? Mais rien qui ne parvint jamais aux oreilles de ses parents, un pharmacien de campagne et une mère au foyer. Pas de frère, mais une grande sœur, marié, deux enfants et qui faisait leur fierté. Entre elles, tout n'était que piques incessantes et jalousie exacerbée. Ce qui fait que Jun n'a plus donné de signe de vie depuis qu'elle a rejoint Tokyo. Tout juste une carte de vœu pour la nouvelle année. Elle n'avait jamais aspiré à être l'enfant prodigue, rôle que ses parents espéraient la voir tenir en exerçant un métier qui la rendrait importante pour la société, alors qu'elle n'était qu'une jeune fille qui ne voulait qu'une chose : s'amuser.

Et c'est très logiquement qu'elle choisit une des universités de Tokyo pour poursuivre ses études après le lycée. Sa spécialité? Heu... Elle avait choisi quoi déjà? Histoire de l'art. Oui, c'est ça, histoire de l'art! Mais Jun ne chauffa pas très longtemps les bancs de l'amphithéâtre, préférant découvrir la capitale de jour, comme de nuit. Shopping, karaoké, soirées diverses et variées se succédèrent jusqu'au jour où son compte en banque se retrouva dans le rouge. Hors de question pour elle de se faire entretenir par ses parents. Dire qu'ils ne s'étaient pas quittés en très bon terme, lors de son annonce de ses études à Tokyo, était un doux euphémisme. Le couple Tôgashi lui en avait voulu de foutre en l'air tout ce pourquoi ils s'étaient battus en l'éloignant de la capitale. Mais elle n'avait qu'un rêve : y faire sa vie. Devenir célèbre? C'était en option mais pourquoi pas. En attendant, il n'y avait pas une nuit où elle n'avait pas rêvé de ce destin. Alors certes, le premier métier qu'elle trouva ne correspondait pas forcément à ses exigences de gloire mais le salaire proposé lui convenait alors Jun n'hésita pas longtemps. Et même si ce fut difficile au début, même si elle dut abandonner ses études -et s'attirer les foudres de ses géniteurs-, la rouquine s'accrocha et finit par l'aimer, son boulot de barmaid.

Oui, depuis deux ans maintenant, elle était une de ses ombres du quartier de Roppongi, officiant soir après soir dans une des boîtes les plus courues des nuits tokyoïtes. Ambiance néon sur le dancefloor et petits bâtonnets dans les cocktails qu'elle préparait dans son «uniforme» sexy étaient ainsi au rendez-vous au Midnight Circus. Une fois par mois avait lieu la soirée PlayBoy et à cette occasion les serveuses et la seule barmaid féminine de l'équipe se devait de revêtir des atours à l'effigie du célèbre lapin de la marque. Oui, ceci est un détail inutile, mais Jun aime ça, l'inutile et le futile. Alors certes, barmaid n'est pas une situation enviée pour briller en société mais la rouquine s'en fout, elle aime ça et ne quitterait ce boulot pour rien au monde.

Mais n'avait-elle aucun rêve? Aucun désir? En fait, des rêves, elle en avait trop. Ou plus exactement en faisait trop. Comme tout le monde, elle en oubliait la plupart du temps leur teneur au réveil. Comme tout le monde, elle avait parfois cette impression de «déjà-vu». Mais à ne jamais s'en inquiéter. Même si parfois, il lui semblait vivre ses rêves... Non, les hommes coupés à la tronçonneuse, très peu pour elle, mais il lui semblait parfois influer sur des conversations, des évènements. Mais tous ces faits étranges, elle préférait les garder pour elle, les mettre sur le compte de l'alcool ou de la fatigue. Non, elle ne pouvait se résoudre à y croire. Très peu fantaisiste dans l'âme, elle se moquait de l'astrologie, de la magie, des fantômes... Elle se moquait de tous ceux qui devaient répondre à cette campagne de pub qui offraient aux gens de l'argent en contrepartie de leurs rêves. Oh, ce n'était pas dit comme ça... Un laboratoire se proposait de lire en vous, en vos rêves et il était écrit en tout petit que vous étiez payé en échange. Oui, c'est le genre de détails qu'elle aimait repérer et qui la faisait sourire. Mais tout cela, toutes ces affiches, elle ne les remarquait même plus. Et n'y avait guère prêté attention au début. C'était juste bon pour les personnes en manque d'argent ou de reconnaissance. Tout ça, très peu pour elle. Dommage pour eux peut-être, elle n'était plus à court d'argent depuis que l'alcool coulait à flot les soirs de boulot. Non, elle n'irait jamais leur prêter ses rêves. Ils étaient bien trop personnels. Surtout depuis qu'une personne était entrée dans sa vie.

Alors oui, à moins qu'ils ne puissent l'aider à l'avoir rien que pour elle, jamais elle n'y mettrait les pieds. Mais si un jour, ils pouvaient lui promettre qu'il poserait les yeux sur elle, alors là oui, peut-être qu'elle leur prêterait un peu d'attention. En attendant, elle ne vit que pour rencontrer son regard. Son? Ses? Lui? Oui lui. De lui, elle ne connait que le nom ; Nobeyama. De lui, elle ne connait que le métier ; commissaire. Leurs chemins se sont croisés un soir particulièrement agité à Roppongi. Une fusillade, un règlement de compte, un mort, des blessés. Et lui. Alors qu'elle sortait du boulot, elle avait assisté à toute la scène et il l'avait interrogé. Jun n'avait pu détacher son regard du sien, à en buter sur les mots, à le regarder la bouche ouverte, les yeux perdus dans l'abîme qui lui faisait face et qu'elle désirait désormais sonder. Oui. Pour lui, elle se sentait capable d'abandonner ses bonnes vieilles habitudes de coucheuse invétérée. Pour sentir l'odeur de son parfum, toucher la douceur de sa peau, la chaleur de son corps. Et ce n'était pas l'alliance qu'il portait au doigt qui allait l'en empêcher. A Jun vaillante, rien d'impossible. Quoi? Vous préférez la VO? A cœur vaillant, rien d'impossible, ça revient au même quoi... Et pourquoi lui? Un banal coup de foudre? Non. Un coup du destin, elle en était sûre. Elle le savait. Au plus profond d'elle-même. Elle le voulait. Elle l'aurait.

Toutefois, depuis ce soir-là, il n'est pas rare de trouver la jolie barmaid au commissariat central, trouvant des prétextes tous plus inutiles/improbables/imbéciles pour s'y rendre, juste dans l'espoir de le voir...

I N F O R M A T I O N ; Je précise que je n'oblige aucunement le joueur de NOBEYAMA Junnosuke à prendre mon personnage en considération xD C'est un délire perso que de lui courir après 8D

♣ Le joueur

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Pseudo→ Pocky'Mosh o/
Âge→ 21 ans (et toutes ses deeeeeeeeents /SBAFF/)
Comment as-tu connu le forum→ faut dire qu'entre piou et piou, y'a pas grande différence
Ce que tu en pense→ J'ai pas fini d'en faire le tour o/ Mais j'aime le design *.* (puis Ryutaro...)
Un mot pour la fin→ JE T'AURAIS RUKI 8D (et t'as collé Su dans les avatars masculins T___T La pauvre quoi éè)

M'en fous, ce sera le but ultime de mon personnage 8D Le voler à sa femme o/ Puis c'est toi qui a fait les prédéfinis quoi xD Pourquoi le mettre avec elle alors qu'il serait tellement mieux avec ma Jun 8D Bon, j'ai déjà le perso bien en tête, ça devrait pas être long avant que je termine ma fiche 8D

(Arf flûte, mon petit effet à la fin de la présa a failé à cause d'une balise xD)
EDIT; après 4 edit successifs, si, en fait 8D

Mais en réponse, je dirais piouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu ♥
(ah, ah, ah, c'est très tentant mais trop tendu d'entrer dedans >8D)