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 FONDATRICE: SAYAKA Aoi

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Sayaka Aoi
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Sayaka Aoi


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Date d'inscription : 17/04/2011

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MessageSujet: FONDATRICE: SAYAKA Aoi   FONDATRICE: SAYAKA Aoi EmptyVen 3 Juin - 11:59

SAYAKA AOI Feat. Tsuchiya Anna
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FONDATRICE: SAYAKA Aoi Blackannaav2
©Black Noodle


Pseudonyme/Surnom→ Alicia
Âge→ 29 ans
Nationalité→ Japonaise
Travail→ Tueuse à gage
Orientation sexuel→ Homosexuel
Patient à la DSC→ Non
Possesseur du don→ Oui

Un visage pale, des yeux en amandes marrons, de long cheveux ébènes, rien ne laisserais dire le contraire, Aoi est une asiatique qui n'a que pour se démarquer de toutes les autres filles l'ondulation naturelle de ses cheveux venue des origines anglaises de sa mère. Somme toute plus banale, la demoiselle se trouve dans la taille moyenne avec son mètre soixante et montre à la perfection la légendaire finesse des japonaises en ne pesant seulement que quarante kilos tout mouillé. Son corps peu sembler si fragile, tel de la porcelaine au premier abord, mais le port d'arme et les entrainements au club de sport lui on permit de se fortifier, se solidifier et ainsi éviter que la porcelaine se brise au moindre contacte. Légère comme une plume, les cours de gymnastique du collège et du club, lui permirent d'acquérir sa souplesse actuelle, lui permettant ainsi d'éviter de nombreux obstacle et de faire part à ses messieurs d'une démarche gracieuse et élégante, sans lourdeur ni grossièreté.
Vêtu habituellement des vêtements les plus simples tel le jean ou le t-shirt à décoration florale, Aoi peu se paraître de tenu bien plus « femme d'affaire » lors d'un rendez-vous avec un client, sortant ainsi de son placard un tailleurs pour femme, mais à pantalon. Quant au travail, cela dépendra de la situation. Si cela est nécessaire elle portera une robe de soirée surmontée d'un manteau de fausse fourrure, ou alors la tenue du parfait touriste et bien d'autre encore. Tout dépend de la cible et du travail à accomplir.



Élevée pour ça, formée pour être parfaite, Aoi connaît son métier à la lettre. Elle sait comment il lui faut agir et elle ne se tolérera aucune erreur. Tout doit être propre, ne laisser aucune trace derrière elle. Ne pas se laisser prendre par surprise. Chacune des règles sont imprimées en elle. La japonaise est professionnel mais surtout impassible. Elle ne laisse jamais sa vie privée ni ses sentiments venir altérer son travail. Elle s'interdit tout contacte familier avec ses clients, elle ne veut pas devoir essuyer une bavure de ceux-ci sur elle. Elle aborde un contacte froid, distant et direct avec eux. Elle ne tournera pas autour du pot, elle ne laissera personne briser la glace qu'elle prend soin de mettre en place. Quitte à être menaçante, quitte à faire savoir qu'elle n'approuve pas le comportement du client. Mais peut importe la situation, le travail sera toujours fait proprement et dans les règles de l'art. Bien sûr elle a ses exigences, payé la moitié avant le boulot, la deuxième partie à la fin du boulot. Puis plus de contacte jusqu'à la prochaine commande. Aoi est organisée pour le travail, chaque affaire est classée par ordre alphabétique et par état. Elle contacte ses clients via un portable prépayé qu'elle jette généralement après chaque boulot. Elle ne range pas ses armes chez elle, juste un pistolet et quelques poisons pour le au cas où.

Facette de la tueuse à gage, elle en aborde une autre quand elle quitte le travail, une fois le masque tombé, c'est la vrai qui reprend place. Plus simple dans sa vie, lorsque ses voisins l''aperçoivent, ils la saluent joyeusement, bavardent un peu avec elle. Aoi n'hésitera pas à prendre un thé chez la petite vielle du deuxième. Elle aime les plaisirs simples, les choses qui ne vous prennent pas la tête. Pourtant elle doit cacher une partie d'elle, elle doit mentir à son entourage. Mentir constamment, c'est devenu finalement une deuxième nature chez elle. Bien sûr, elle utilisera ce moyen qu'en cas de nécessite extrême et souvent pour le boulot. Aoi est aussi quelqu'un d'extrêmement poli. Si elle vous rencontre pour la première fois, si vous êtes plus âgé qu'elle, si vous êtes son client ou un homme important (valable aussi pour les femmes) elle utilisera le vouvoient. Elle connait les marques de respects et n'hésitera pas à laisser sa place dans le bus ou le métro à une personne handicapé ou âgé. Elle n’hésite pas non plus à venir en aide à ses proches, à leur offrir toute la tendresse qu’elle possède, les écouter quand ils en ont besoin, car elle sait à quel point l’amitié et les relations se font et se défont facilement. On pourrait continuait de parler ainsi d'elle, comme une fille sans défaut, comme la fille que toutes mères rêveraient d'avoir. Mais Aoi à aussi de nombreux défauts. Elle n'est pas si parfaite que cela.
Rongée par la solitude, par la haine et par l'angoisse, Aoi le sait pertinemment, elle ne peut se permettre d’être n’importe qui. Elle ne peut pas se lier avec les gens comme elle le voudrait. Alors elle reste souvent distante et peu entreprenante avec les inconnus. Qu’importe si elle se retrouve à être une femme solitaire et sans amis, cela lui conviendra aussi car il lui restera toujours les remords et les souvenirs pour lui tenir compagnie.
Alicia ne cesse de penser à sa vie d'avant. Elle sait que c'est elle qui à fait ce choix de mode de vie, et en un sens elle le regrette. Elle voudrait pouvoir modifier certain élément du passer. Mais n'est-ce pas là impossible ? Alors elle se contente d'être nostalgique, de repenser à tout cela autour d'un verre de vodka accompagné de quelque crudité. Espérant un jour revoir peut-être Rikki, surgir de nulle part et la prendre dans ses bras, ou bien entendre son père adoptif d’une voix neutre lui dire bonjour tout simplement en lisant son journal et en buvant son café.
D’ailleurs c’est une habitude que la japonaise a pris. Tous les matins après son heure de jogging et sa douche, elle ressort pour aller prendre un mocca au Starbucks de … Et s’installe sur une des tables extérieures pour lire son journal. Finalement elle est un peu réglée sur une pendule. Elle sait que de tel heure à tel heure il lui faut faire tel chose et tel chose. Chaque jour c’est le même rituel et finalement, pour rien au monde elle ne changerait cette vie si monotone et rigide. Car en effet, il sera rare de voir Aoi en soirée, de la voir s’amuser à DisneyLand ou encore dans les arcades. Elle est plus du genre lecture dans le parc, ou bien séance de sport dans son club.


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    « Rikki j'ai peur.
    _Chut Alicia, tout ira bien, père nous a apprit à faire cela.
    _Mais et si je loupai ?
    _Tout ira bien, je suis là pour ça. N'ai de crainte. Je suis avec toi.
    _J'ai peur. J'ai peur Rikki.
    _Je le sais. Mais ne la détestes-tu pas, Ne veux-tu pas la faire disparaître ?
    _Oui. Il faut que je sois courageuse.
    _Oui Alicia, c'est de sa faute à elle, pas à toi. N'ai de crainte, je suis avec toi. Je suis avec toi Alicia. »
Je suis avec toi, avec toi, Alicia, n'ai de crainte, peur, ne le détestes-tu pas ?, mais, je suis là, Rikki, tout ira bien. C'était un murmure inlassable, il ne cessait de hanter sa mémoire, de revenir à la surface, de ressurgir sans avant garde. Juste comme ça, juste pour s'amuser d'elle. Ce murmure si glaciale, si effrayant. C'était comme un gouffre sans fond. Vous tombez, encore et encore, sans pouvoir en voir la fin, sans pouvoir en voir le début.

Les cris et les hurlement résonnaient dans la pièce. Cette nuit-là fut une des nombreuses nuit de terreur qui emplissait l'appartement. Tout deux étaient auprès d'elle. La confortent, lui murmurant de doux mots, la rassurant et quand enfin tous se calma et qu'elle retomba dans les bras de Morphée, ils se regardèrent, sortirent silencieusement de la pièce. L'homme soupira, la fille garda le regard sur le sol. Pas un n'osait prendre la parole. Et de longues minutes s'écoulèrent ainsi.
    « _Père.
    _Je sais. Je sais Rikki. Je n'aurais jamais dû lui dire de faire ça. Elle n'était pas prête. Elle n'est pas faite pour ce genre de vie.
    _Père...
    _Elle risque de devenir folle Rikki. Tu le voit aussi bien que moi. Ses cauchemars la rongent de l'intérieur.
    _Ne vous inquiétez pas père, je veillerais sur elle.
    _Je compte sur toi.
    _oui, vous pouvez partir tranquille, je prendrais soin d'elle.
    _Je t'en remercie Rikki.
    _Mais c'est normale, c'est ma sœur après tout.
    _Oui, tout comme vous êtes mes filles. »


Le joueur
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